1. La psychologie de la santé a pour rôle :
a D'évaluer le rôle des comportements dans le développement des maladies.
b De comprendre l'apparition et le maintien de certains comportements pathogènes.
c D'étudier et comprendre le vécu de la maladie et des traitements.
d Les 3 réponses sont justes.
2. Quelle approche part du particulier pour arriver au général ?
3. Quelle approche part d'observations isolées pour en déduire des grands principes généraux qui servent à prédire des éléments particuliers qu'on cherche à vérigier sur le terrain ?
4. Quel est l'intérêt de ces modèles théoriques ?
a Comprendre, identifier, expliquer et modif ls comp de santé en identifiant les diff fact qui peuvent influencer ces comp.
b Considérer le poids respectif de ces facteurs ainsi que leurs interactions.
c Les 2 réponses sont justes.
d Les 2 réponses sont justes.
5. Quel modèle décrit les modèles socio-cognitifs ?
a 1ère génération
b 2ème génération
6. L'objectif du modèle de 1ère génération :
a Inférer des comportements pour modifier les attitudes.
b Comprendre et prédire les comportements à partir de la connaissance des attitudes.
7. Qu'est-ce qu'Allport décrit comme l'état mental et neurophysio déter p/l'exp et qui exerce une influence dynamique sur l'indiv en le préparant à agir d'une manière particulière à un certain nbre d'objets ou d'éven ?
a Le comportement
b La réaction
c L'attitude
d La conduite
8. Qui écrit l'attitude comme des tendances à évaluer une entité avec un certain degré de faveur ou de défaveur, habituellement exprimées dans des réponses cognitives, affectives et comportementales ?
a Rosenberg & Hovland
b Ajzen
c Eagly & Chaiken
9. Rosenberg & Hovland décrivent 3 composantes de l'attitude. L'ensemble des émotions ou de sentiments relatifs à l'objet est la composante :
a Cognitive
b Comportementale
c Affective
10. L'ensemble des comportements ou tendance comportementales envers l'objet est composante :
a Cognitive
b Affective
c Comportementale
11. L'ensemble de croyances ou d'opinions à propos de l'objet est la composante :
a Affective
b Cognitive
c Comportementale
12. D'après Ajzen, si je ne vote pas pour telle personne, il s'agit d'une réponse :
a Verbale - Comportementale
b Cognitive - Non verbale
c Affective - Non verbale
d Comportementale - Non verbale
13. L'étude de LaPierre avec l'accès des chinois aux hôtels démontre :
a Qu'il y a une relation entre attitudes et comportements
b Qu'il n'y a pas de relation entre attitudes et comportements
14. Postuler que les comportements sont déterminés par les attitudes seules :
a Est une énorme simplification.
b Revient à ignorer les autres travaux sur l'influence sociale et la régulation normative.
c Les 2 réponses sont justes.
d Les 2 réponses sont fausses.
15. Les modèles de 2ème génération sont inscrits dans le cadre théorique de la :
a Social cognition
b Society cognition
16. Le modèle HBM est le modèle :
a De la motivation à se protéger
b Des croyances sur la santé
c Du comportement planifié
17. Le modèle HBM est le modèle :
a De la motivation à se protéger
b Des croyances sur la santé
c Du comportement planifié
18. Dans ce modèle, la probabilité d'action est déterminée par la perception de la menace, elle-même déterminée par 3 croyances.
19. Quelles sont les implications pratiques de ce modèle HBM ?
a Utilisé pour des analyses des comportements préventifs mais difficilement applicable aux comp plus complexes.
b Prédire un comportement par perception des coûts et obstacles et vulnérabilité personnelle.
c Permet la perception de la gravité de la maladie.
d Les 3 réponses sont justes.
20. Quelles sont ses limites ?
a Ne s'applique pas à toutes les situations et il y a une absence de la dimension sociale.
b Conçoit les actions de prévention sous l'angle exclusif des croyances liées à la santé et à la maladie.
c Met difficilement en évidence l'orientation de la relation croyances-comp et rôle médiateur des fact socio-démo et psy.
d Les 3 réponses sont justes.
21. La théorie développée pour étudier les effets de l'utilisation de la peur dans les communications préventives est la théorie :
22. Quelles sont les 3 composantes du message basé sur la peur ?
a Magnitutde de la menace de l'évènement analysé
b La probabilité d'occurence de l'évènement
c L'efficacité de la réponse préventive
d Les 3 réponses sont justes.
23. L'arrêt du tabac sera plus probable si l'individu perçoit une menace, une gravité etc... importante.
24. Quelles sont les limites de ce modèle ?
a Il est largement utilisé pour expliquer et prédire de nbx comportements de santé.
b Les variables du modèle n'ont pas le m pouvoir de prédict° selon le type de changmnt de comp - Les effets des fact expli st variables selon l'âge.
c Les 2 réponses sont justes.
d Aucune des 2 réponses.
25. Suite aux critiques des modèles de 1ère génération, qu'est-ce que la TAR ?
a Théorie de l'action réactive
b Théorie de l'attractivité raisonnée
c Théorie de l'action raisonnée
26. La théorie du comportement planifié est la
27. Ce modèle a pour idée que les décisions relatives aux comportements à adopter ne sont pas la conséquence d'intentions comportementales.
28. Quelles sont les spécificités de la TCP par rapport à la TAR ?
a Les facteurs de contrôle internes et externes
b Puissance des facteurs de contrôle
c Contrôle comportemental
d Les 3 réponses sont justes.
29. Ce modèle insiste sur la pression à se conformer aux opinions de l'entourage.
30. Qui a décrit l'approche du processus d'action sur la santé ?
a Schwartzer
b Ruchs
c Bandura
31. Dans cette approche, l'individu en fonction de ses attentes et des résultats ***, évalue son efficacité vis-à-vis de la mep de comp ***, se fixe des buts et met en place des *** avant de réaliser ces comp.
a Obtenus - Pathogènes - Plan d'action -
b Escomptés - Salutogènes - Plan d'action
32. Quelles sont les 2 phases de ce modèle ?
a Phase de motivation - Phase d'action
b Phase de réflexion - Phase d'action
33. Quelle est la limite de ce modèle ?
a L'influence possible des comportements antérieurs sur le comportement actuel.
b La non prise en compte du rôle modérateur de certains caract indiv sur l'efficacité personnelle.
34. Ces modèles ont une forte prise en compte des dimensions sociales avec une conception des normes non-réductrice.
35. Ces modèles négligent l'influence des caractéristiques individuelles sur les facteurs pris en considération.
36. Ces modèles prennent bien en compte l'expérience passée et les émotions associées qui peuvent influencer l'auto-efficacité.
